On n’a jamais autant considéré l’autonomie et la prise d’initiative qu’aujourd’hui. Et l’individualisme n’y est pas pour rien ! Depuis que l’individu l’a emporté sur le collectif, il est devenu important de mettre en avant nos propres talents et compétences à travers les initiatives que l’on prend. Non seulement cela nous valorise, mais en plus se dit-on que cela doit, quelque part, contribuer aussi à la société (par le progrès et l’innovation).
Toutefois, ce mouvement de valorisation de l’individu et de ses actions implique (au moins) deux choses : d’une part, notre responsabilité augmente, et avec elle toute la pression que cela peut engendrer ; d’autre part, en prenant des initiatives nous devons être capable de faire valoir nos idées.
L’un comme l’autre a tendance à remettre la question du sens et celle de la motivation au cœur de nos choix professionnels. Pourquoi fait-on ce que l’on fait ? Qu’est-ce qui nous donne envie d’avancer ?
Quand bien même nous avons le sentiment d’avoir résolu ces questionnements, il peut arriver que l’on ait une baisse d’énergie, on procrastine, le découragement nous cloue au sol. La motivation nous manque.
Mais tout n’est pas perdu : pour nous engager dans l’action, on ne repose pas pleinement sur la motivation – la concentration est, elle aussi, un moteur. En nous concentrant sur la tâche à accomplir, nous pouvons surmonter la résistance initiale, et tout ce qui nous reste à faire est de maintenir ce focus.
Si elles s’influencent mutuellement, la motivation n’est en effet pas toujours l’élan initial, et la concentration peut susciter la motivation. Eliminez les distractions pour éviter les sources de démotivation, engagez-vous dans l’action, forcez votre concentration. Celle-ci est un muscle qui se développe et s’entretient ; avec l’habitude, nous renforçons notre capacité à nous engager dans une tâche même quand notre motivation est faible. La motivation peut d’ailleurs être renforcée aussi lorsque l’on réalise les bénéfices à long terme de la tâche, même si cela ne se traduit pas immédiatement par une motivation initiale.
Evidemment, il est possible de nous donner un petit coup de boost en nous aidant d’un allié de la concentration : on pense bien sûr à l’aromathérapie. Aviez-vous remarqué que pour invoquer la fraîcheur et l’énergie, on a souvent recours aux odeurs citronnées ?
Il n’y a pas de hasard : le citron a des propriétés énergisantes et tonifiantes. Son arôme pétillante, acidulée, stimule l’esprit et facilite la concentration. Quant à la citronnelle, plante tropicale aux effluves purifiantes, elle aide à chasser les tensions, et à réduire la fatigue mentale. On l’utilise pour retrouver un esprit clair et alerte. Une autre plante aux notes citronnées est la verveine exotique, qui calme les tensions et favorise la réflexion. Enfin, si vous ajoutez le géranium, vous trouverez une note d’équilibre : il favorise la relaxation et cultive la sérénité.
Ces quatre plantes, transformées en huiles essentielles, se retrouvent dans la bougie « L’Arbre savant ». Parce qu’il s’agit de retrouver un équilibre naturel, de s’enraciner dans notre vie et nos actions, et de stimuler notre esprit, elle est une bougie que l’on allume quand on a besoin de se rafraîchir l’esprit et démarrer un travail réflexif depuis un esprit libre et apaisé. Ce faisant, l’Arbre savant favorise aussi votre aptitude à mémoriser.
D’abord, créez un espace de travail qui vous inspire. Less is more: débarrassez-vous du superflu, laissez un minimum de choses susceptibles de vous distraire, et ne sélectionnez que ce qui peut vous dynamiser et rendre votre travail agréable.
Allumez ensuite votre bougie. Vous pouvez la laisser brûler jusqu’à ce qu’elle embaume la pièce dans laquelle vous travaillez, ou bien la garder allumée jusqu’à ce que vous ayez terminé l’activité qui nécessite votre focus. Dans tous les cas, l’essentiel est d’en apprécier la senteur tout en ayant l’esprit parfaitement engagé dans une seule et unique tâche.
Enfin, n’oubliez pas de prendre des pauses, courtes mais raisonnables, pour ne pas perdre votre attention. Prenez également la peine de vous féliciter si cette session a été un succès, même relatif !
Après tout, comment peut-on finalement susciter sa motivation si l’on ne se récompense jamais ?
